De là-bas
L'œil ivre – Romain Bertet
Tarif A
Jeudi 27 novembre - 20h00 - Petit Théâtre
distribution
■ Romain Bertet : conception, interprétation, scénographie
■ Barbu Bejan : scénographie, manipulation de l’argile
■ Marc Baron : composition musicale
■ Gilbert Guillaumond , Charles Périchaud : création lumière
■ Charles Périchaud : régie générale et lumière
■ Eric Petit : régie son
■ Sandy Tissot : régie plateau
■ Vivianne Balsiger : complicité artistique et regard extérieur
production
PRODUCTION L’ŒIL IVRE
CO-PRODUCTION CCN D’ORLEANS/JOSEF NADJ (DISPOSITIF ACCUEIL-STUDIO)
RESIDENCE RAM-DAM, CCN D’ORLEANS, CNCDC DE CHATEAUVALLON, L’ESPACE PIERRE-BEL (LA VALETTE-DU-VAR), KLAP - MAISON POUR LA DANSE DE MARSEILLE
infos pratiques
Durée 55 min — Dès 12 ans

De là-bas
L'œil ivre – Romain Bertet
Tarif A
Jeudi 27 novembre - 20h00 - Petit Théâtre
distribution
■ Romain Bertet : conception, interprétation, scénographie
■ Barbu Bejan : scénographie, manipulation de l’argile
■ Marc Baron : composition musicale
■ Gilbert Guillaumond , Charles Périchaud : création lumière
■ Charles Périchaud : régie générale et lumière
■ Eric Petit : régie son
■ Sandy Tissot : régie plateau
■ Vivianne Balsiger : complicité artistique et regard extérieur
production
PRODUCTION L’ŒIL IVRE
CO-PRODUCTION CCN D’ORLEANS/JOSEF NADJ (DISPOSITIF ACCUEIL-STUDIO)
RESIDENCE RAM-DAM, CCN D’ORLEANS, CNCDC DE CHATEAUVALLON, L’ESPACE PIERRE-BEL (LA VALETTE-DU-VAR), KLAP - MAISON POUR LA DANSE DE MARSEILLE
les + du spectacle
Durée 55 min — Dès 12 ans
Un corps qui tente de manoeuvrer, plus ou moins à l’aise, au milieu de sept quintaux de terre glaise.
Pour les besoins de la scène, puisqu’il interpréta la pièce chorégraphique May B de Maguy Marin de 2010 à 2014, Romain Bertet dut s’enduire le visage d’une épaisse couche d’argile pendant quatre ans non-stop (sauf les jours de relâche).
L’artiste garde de cette expérience épidermique un souvenir indélébile (contrairement à l’argile, qu’un peu d’eau suffit à effacer). Voilà pourquoi s’entassent sur le plateau de De là-bas sept cents kilos de cette roche sédimentaire qui peut former une pâte plastique et qui durcit à la cuisson sous l’apparence d’un cube. Et ce cube, Romain Bertet le creuse, l’entaille, le rectifie et le façonne, à michemin entre l’alchimiste soucieux de transmuer la matière et le bagnard tentant de la transpercer. Qu’est-ce donc que ce spectacle ? Une création sur la Création ? Une allégorie de l’Allégorie de la caverne de Platon ? Un délire architectural ? Une ode à Germinal ? Maybe. Mais peut-être qu’avec sa lumière chatoyante et sa bande-son prenante, De là-bas n’est rien d’autre, au fond, qu’une invitation à aller voir là-bas si Romain y est...
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