Je crois que dehors c'est le printemps
Gaïa Saitta, Giorgio Barberio Corsetti
Tarif A
Vendredi 27 mars - 20h00 - Petit Théâtre
Samedi 28 mars - 20h00 - Petit Théâtre
distribution
■ Giorgio Barberio Corsetti et Gaia Saitta : mise en scène
■ Gaia Saitta : interprétation
■ Concita de Gregorio : texte
■ Gaia Saitta : adaptation théâtrale
■ Cécile Lassonde : collaboratrice artistique
■ Giuliana Rienzi : scénographe
■ Frédérick Denis : costumier
■ Marco Giusti : créateur lumières
■ Tom Daniels : créateur son et régie lumière
■ Igor Renzetti : vidéo
■ Pierre Ottinger : régie générale, plateau et vidéo
production
COPRODUCTION THEATRE NATIONAL WALLONIE-BRUXELLES, LES HALLES DE SCHAERBEEK, IF HUMAN (BRUXELLES), LE MANEGE – SCENE NATIONALE DE MAUBEUGE, THEATRE NATIONAL DE NICE - CDN NICE COTE D’AZUR
infos pratiques
Durée 1h30 — Dès 12 ans

Je crois que dehors c'est le printemps
Gaïa Saitta, Giorgio Barberio Corsetti
Tarif A
Vendredi 27 mars - 20h00 - Petit Théâtre
Samedi 28 mars - 20h00 - Petit Théâtre
distribution
■ Giorgio Barberio Corsetti et Gaia Saitta : mise en scène
■ Gaia Saitta : interprétation
■ Concita de Gregorio : texte
■ Gaia Saitta : adaptation théâtrale
■ Cécile Lassonde : collaboratrice artistique
■ Giuliana Rienzi : scénographe
■ Frédérick Denis : costumier
■ Marco Giusti : créateur lumières
■ Tom Daniels : créateur son et régie lumière
■ Igor Renzetti : vidéo
■ Pierre Ottinger : régie générale, plateau et vidéo
production
COPRODUCTION THEATRE NATIONAL WALLONIE-BRUXELLES, LES HALLES DE SCHAERBEEK, IF HUMAN (BRUXELLES), LE MANEGE – SCENE NATIONALE DE MAUBEUGE, THEATRE NATIONAL DE NICE - CDN NICE COTE D’AZUR
les + du spectacle
Durée 1h30 — Dès 12 ans
La cartographie mentale d’une Médée inversée qui tente de se retrouver après avoir tout perdu.
Une mère mène une vie tranquille avec son mari et ses deux petites filles. Mais voilà qu’un jour, l’époux disparaît avec les deux enfants. Lui, on finira par mettre la main sur son corps suicidé ; et elles, on continue encore de les chercher partout.
C’est cette histoire vraie, survenue il y a quelques années en Suisse, que la comédienne Gaia Saitta a voulu porter au plateau, seule et à bout de bras, afin de dresser le portrait d’une femme déchirée entre le gouffre de la douleur et l’espoir (ténu) d’une réapparition, l’abîme de la tragédie et le désir (têtu) d’une reconstruction. Enfin, seule, pas tout à fait, puisque Gaia Saitta est assez vite secondée et épaulée par neuf anges gardiens qui, fidèles à leurs valeurs et soucieux de leurs fonctions, l’aident gentiment à raccommoder les chutes de ses souvenirs et les lambeaux de son existence. Et c’est justement cette approche fragmentée, parcellaire, dans le récit comme dans la forme, qui permet de plonger dans l’intériorité chamboulée de la protagoniste – comme dans son besoin de consolation pas impossible à rassasier...
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